23 juillet 2008

Un goût d'Arménie

Ces croissants aux noix font un énorme Buzz ! Depuis que j'ai commencé à en faire, tout le monde en redemande ! L'industrialisation de mes talents (mouais !) culinaires commence doucement... mais sûrement ! On apprécie la dinette d'Ariane... filon d'enfer pour faire de jolies photos colorées ! Comme quoi pas la peine d'investir : une bonne vieille ménagère en plastoc et hop' le tour est joué !

11 juillet 2008

Oh pétard, le voilà !

La suite de ma Sainte bible vient tout juste de sortir... juste 2 mois que je l'attendais !
Décidément ces derniers temps c'est la grosse loose :
1- je me FaceBooke juste des lustres après sa sortie ;
2- je découvre Lignac 3 ans après tout le monde...
Je serais vous je parierais sur un n° 3 genre "je découvre le téléphone mobile"...
... allez au revoir les amis, je file à la maison de la presse !

10 juillet 2008

Des comme ça on en fait plus


Des mois déjà que je voulais trouver un moment pour dire grand bien de ce film décadent comme on en fait plus !
Je vous présente ici toutes mes confuses !
Avant toute chose, La grande bouffe fait partie de ces oeuvres que les mots seuls n'arriveront jamais à décrire (sauf ceux de Nono, illuminé et intarissable en salle des profs quand je le branche sur Ferreri !). Provoquant jusqu'à l'obscène (jusqu'au supportable diront certains ?), Marco Ferreri envoie valdinguer la bienséance, les "bonnes" moeurs et le politiquement correct. Ici on est sur Mars, même si tout semble terriblement réaliste. Cynisme et humour montent une comique mayonnaise qui laisse parfois perplexe : comment est-il possible d'imaginer des situations si abjectes, à la limite de l'animal ?
Pas de héros, seulement 4 épicuriens pur jus, qui décident non sans cynisme de se réunir pour un "séminaire" gastronomique à la vie, à la mort. L'ensemble prend vite la forme d'une immonde beuverie où d'une scène à l'autre le trivial et le surréalisme s'emboîtent le pas dans une danse scabreuse et morbide. Ferreri nous offre un spectacle plus vrai que nature propre à choquer les esprits : c'est le but. Le plaisir et la mort ripaillent ensemble, les bas instincts et le sordide triomphent !
On touche aux limites et Ferreri excelle à rester ici, à la lisière du dicible, du "montrable" avec ce suicide culinaire organisé. Il en faut du génie pour imaginer le pire de l'homme à ce point ! La morale valse à des kilomètres et cela donne un film à peine croyable. 1973. Ce film a 35 ans et pas une ride. Pas difficile d'imaginer que si ce film sortait à nouveau en 2008, il soulèverait encore un tolet (le film a été hué à Cannes !), mais comme dit Julien, un film qui suscite des avis très partagés c'est un bon signe, car en effet cela signifie au moins qu'il y a matière à dialoguer autour d'un contenu.
A ce titre La grande bouffe et ses 4 acteurs prodigieux méritent donc quelques lauriers !

01 juillet 2008

Ultimate sablés...



Derniers exploits pâtissiers avant les vacances
et le serrage de ceinture... Dernière ligne droite
avant le mois d'octobre... on y croit !

On apprécie s'il vous plaît le petit plus : l'indispensable emporte pièce customisable, ustensile clé pour ma future "Mumu Roll" (comprenez une roulotte à cookies (oui je sais ça fume sous le capot !)).